Photo : LMB/Rue89Lyon
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Un 1er-Mai agité à Lyon, porté par la mobilisation pour Gaza
Ils étaient 13 000 selon les syndicats, 6 500 selon la préfecture, à manifester à Lyon pour le 1er-Mai. Une bonne mobilisation soutenue par la présence de soutiens à Gaza. Émaillé de moments de tensions avec les forces de l’ordre, l'événement a été ponctué de nombreuses interpellations. Récit et photos.
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sur la photo qui illustre l’article, tous/toutes les autres protagonistes autour de Mr Doucet ont les mains dans le dos:
Voir plusqu’ attendent-ils/elles en « douce » ?
Cherchent-ils/elles un tour dans un sac ? ou ont-ils les mains liées politiquement et » culturellement » ?
J’ y pense et j’ écris avant d’oublier
Faut consulter, à ce sujet, notre revue SILENCE *
9 rue Dumenge dans le 4 ème,
qui est une source d’ inspiration et d’actions sans limites depuis plus de 40 ans
* https://www.revuesilence.net/numeros/531-Une-ecologie-feministe-et-decoloniale/ecologie-decoloniale-et-ecofeminisme-un-chantier-commun
Voir plusInspirant modèle à développer, à encourager et à protéger
A noter une grande soeur dans les Vosges à St Dié où
le Radis Kale fixe une communauté autonome, écologiste et féministe*
« Après leur apéro, les chanteuses se positionnent en demi-cercle et s’emparent chacune d’un petit classeur vert qui contient leur répertoire : À bas l’État policier, Allez les gars, le Tango de l’IVG, Si les femmes chantent fort, l’Estaca…La chorale se produit le plus souvent lors de manifestations, comme récemment en soutien aux Soulèvements de la terre.
Le groupe tient les hommes à l’écart. « Ils peuvent participer à tous les autres événements du Radis Kale, mais ce temps entre femmes est important, pour parler librement de certains sujets sans subir un certain paternalisme », résume Maurine. Mais les enfants sont tous les bienvenus, précise Marie-Blanche, elle-même mère d’une petite fille et d’un petit garçon :
« Au début, je pensais que le féminisme n’était pas pour moi, car je vis dans un schéma assez classique. Je suis mariée, j’ai deux enfants… Mais j’ai appris ici à m’approprier cette lutte. On a parfois cette image que défendre les idées féministes est plus difficile à la campagne, c’est donc important que le groupe accepte toutes les femmes. Et que le fait d’être maman ne soit pas un frein. »
* https://www.rue89strasbourg.com/saint-die-radis-kale-vosges-alternatives-271776
Voir plusN’oublions pas que ce type d’ hébergement » stabilisé » permet notamment la scolarisation continue d’ enfants qui jusque-là n’avaient droit qu’à une scolarité en pointillés.
Au-delà, et paradoxalement, ce type de lieux peuvent accueillir dans l’urgence, de nombreuses personnes, parfois envoyées par les services en charge de l’accueil d’urgence.
Quid des valeurs d’humanisme dont la ville se revendique?
Quid de sa place parmi les membres fondateurs de l’association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA), créée à Lyon le 26 septembre 2018?
Quid du « Manifeste pour un accueil digne des personnes migrantes vulnérables »,de 2019?
Quid de la convention internationale des droits de l’enfant (convention des nations unies du 20 novembre 1989) et de ses droits à l’éducation (art 28) qui ne sont pas garantis lorsque la scolarité est interrompue du fait des expulsions et des mises à la rue?
Voir plussur la photo qui illustre l’article, tous/toutes les autres protagonistes autour de Mr Doucet ont les mains dans le dos:
qu’ attendent-ils/elles en « douce » ?
Cherchent-ils/elles un tour dans un sac ? ou ont-ils les mains liées politiquement et » culturellement » ?
J’ y pense et j’ écris avant d’oublier
Faut consulter, à ce sujet, notre revue SILENCE *
9 rue Dumenge dans le 4 ème,
qui est une source d’ inspiration et d’actions sans limites depuis plus de 40 ans
* https://www.revuesilence.net/numeros/531-Une-ecologie-feministe-et-decoloniale/ecologie-decoloniale-et-ecofeminisme-un-chantier-commun
Inspirant modèle à développer, à encourager et à protéger
A noter une grande soeur dans les Vosges à St Dié où
le Radis Kale fixe une communauté autonome, écologiste et féministe*
« Après leur apéro, les chanteuses se positionnent en demi-cercle et s’emparent chacune d’un petit classeur vert qui contient leur répertoire : À bas l’État policier, Allez les gars, le Tango de l’IVG, Si les femmes chantent fort, l’Estaca…La chorale se produit le plus souvent lors de manifestations, comme récemment en soutien aux Soulèvements de la terre.
Le groupe tient les hommes à l’écart. « Ils peuvent participer à tous les autres événements du Radis Kale, mais ce temps entre femmes est important, pour parler librement de certains sujets sans subir un certain paternalisme », résume Maurine. Mais les enfants sont tous les bienvenus, précise Marie-Blanche, elle-même mère d’une petite fille et d’un petit garçon :
« Au début, je pensais que le féminisme n’était pas pour moi, car je vis dans un schéma assez classique. Je suis mariée, j’ai deux enfants… Mais j’ai appris ici à m’approprier cette lutte. On a parfois cette image que défendre les idées féministes est plus difficile à la campagne, c’est donc important que le groupe accepte toutes les femmes. Et que le fait d’être maman ne soit pas un frein. »
* https://www.rue89strasbourg.com/saint-die-radis-kale-vosges-alternatives-271776
N’oublions pas que ce type d’ hébergement » stabilisé » permet notamment la scolarisation continue d’ enfants qui jusque-là n’avaient droit qu’à une scolarité en pointillés.
Au-delà, et paradoxalement, ce type de lieux peuvent accueillir dans l’urgence, de nombreuses personnes, parfois envoyées par les services en charge de l’accueil d’urgence.
Quid des valeurs d’humanisme dont la ville se revendique?
Quid de sa place parmi les membres fondateurs de l’association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA), créée à Lyon le 26 septembre 2018?
Quid du « Manifeste pour un accueil digne des personnes migrantes vulnérables »,de 2019?
Quid de la convention internationale des droits de l’enfant (convention des nations unies du 20 novembre 1989) et de ses droits à l’éducation (art 28) qui ne sont pas garantis lorsque la scolarité est interrompue du fait des expulsions et des mises à la rue?