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Mauvais calcul qui va coûter cher collectivement.
Voir plusDécisions et arbitrages de l’ Etat qui relèvent de l’ aveuglement et de la surdité sociales …
que Bayrou va confirmer aujourd’hui à l’ Assemblée en faisant payer …les plus vulnérables…
La majorité des élus sont hors-sol.
Ils devraient refaire des stages d’ immersion dans la vraie vie…
Entendu sur France culture* hier , la rediffusion de l’ émission consacrée à la lanceuse d’ alerte , l’ inspectrice du travail Laura Pfeiffer qui a été brisée par son combat légitime contre Tefal
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/celles-et-ceux-qui-changent-le-monde-l-inspectrice-du-travail-de-tefal-9852908
« Quand elle prend son poste d’inspectrice du travail à Annecy, dans une des régions les plus riches de France, Laura Pfeiffer sent qu’elle met les pieds dans un terrain miné : « Faire son métier d’inspecteur du travail, c’est-à-dire aller titiller le patronat qui ne respecte pas forcément la réglementation, j’ai senti que ça allait être compliqué. »
Voir plusMalgré les mises en garde, y compris de la part de son propre supérieur hiérarchique, elle n’hésite pas à dénoncer les mauvaises pratiques de l’entreprise Tefal sur le site de Rumilly.. »
vous résumez très bien la FI.
Malheureusement, c’est ce qui semble marcher aujourd’hui.
On ne va pas leur reprocher, ils vont encore mal le prendre…
#NFP
Voir plusAurélie Gries, militante locale, ancrée, bosseuse, sincère : placée en quarantaine par LFI. Trop authentique, sans doute.
Voir plusÀ sa place, Anaïs Belouassa-Cherifi, tombée sur Lyon comme un spam dans une boîte mail : non sollicitée, bruyante, difficile à supprimer.
Pas de racines lyonnaises pour Anaïs ? Pas grave, Twitter suffit. Pas de bilan local ? Une proposition de loi au compteur, trois punchlines, quinze indignations télévisées. Elle parle fort, gesticule bien, et légifère peu. À l’Assemblée, elle performe. Sur les réseaux, elle explose. Une députée 2.0 : filtres militants, effets spéciaux radicaux, mais très peu de contenu. Mais déjà, la voilà candidate à la mairie de Lyon en 2026.
Pas besoin de connaître les quartiers pour les gouverner, apparemment. Un bon signal Wi-Fi suffit.
Pendant ce temps, Aurélie Gries, elle, fait ce que les vrais militants font : bosser sans projecteur, défendre sans posture. Trop discrète pour les réseaux, trop efficace pour le casting.
Aurélie Gries parlait avec les habitants. Anaïs, elle, parle aux algorithmes.
Mais qu’on se le dise : entre une militante qu’on vire et une députée qu’on vend, on sait laquelle est encore digne.
Mauvais calcul qui va coûter cher collectivement.
Décisions et arbitrages de l’ Etat qui relèvent de l’ aveuglement et de la surdité sociales …
que Bayrou va confirmer aujourd’hui à l’ Assemblée en faisant payer …les plus vulnérables…
La majorité des élus sont hors-sol.
Ils devraient refaire des stages d’ immersion dans la vraie vie…
Entendu sur France culture* hier , la rediffusion de l’ émission consacrée à la lanceuse d’ alerte , l’ inspectrice du travail Laura Pfeiffer qui a été brisée par son combat légitime contre Tefal
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/celles-et-ceux-qui-changent-le-monde-l-inspectrice-du-travail-de-tefal-9852908
« Quand elle prend son poste d’inspectrice du travail à Annecy, dans une des régions les plus riches de France, Laura Pfeiffer sent qu’elle met les pieds dans un terrain miné : « Faire son métier d’inspecteur du travail, c’est-à-dire aller titiller le patronat qui ne respecte pas forcément la réglementation, j’ai senti que ça allait être compliqué. »
Malgré les mises en garde, y compris de la part de son propre supérieur hiérarchique, elle n’hésite pas à dénoncer les mauvaises pratiques de l’entreprise Tefal sur le site de Rumilly.. »
vous résumez très bien la FI.
Malheureusement, c’est ce qui semble marcher aujourd’hui.
On ne va pas leur reprocher, ils vont encore mal le prendre…
#NFP
Aurélie Gries, militante locale, ancrée, bosseuse, sincère : placée en quarantaine par LFI. Trop authentique, sans doute.
À sa place, Anaïs Belouassa-Cherifi, tombée sur Lyon comme un spam dans une boîte mail : non sollicitée, bruyante, difficile à supprimer.
Pas de racines lyonnaises pour Anaïs ? Pas grave, Twitter suffit. Pas de bilan local ? Une proposition de loi au compteur, trois punchlines, quinze indignations télévisées. Elle parle fort, gesticule bien, et légifère peu. À l’Assemblée, elle performe. Sur les réseaux, elle explose. Une députée 2.0 : filtres militants, effets spéciaux radicaux, mais très peu de contenu. Mais déjà, la voilà candidate à la mairie de Lyon en 2026.
Pas besoin de connaître les quartiers pour les gouverner, apparemment. Un bon signal Wi-Fi suffit.
Pendant ce temps, Aurélie Gries, elle, fait ce que les vrais militants font : bosser sans projecteur, défendre sans posture. Trop discrète pour les réseaux, trop efficace pour le casting.
Aurélie Gries parlait avec les habitants. Anaïs, elle, parle aux algorithmes.
Mais qu’on se le dise : entre une militante qu’on vire et une députée qu’on vend, on sait laquelle est encore digne.