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vous résumez très bien la FI.
Malheureusement, c’est ce qui semble marcher aujourd’hui.
On ne va pas leur reprocher, ils vont encore mal le prendre…
#NFP
Voir plusAurélie Gries, militante locale, ancrée, bosseuse, sincère : placée en quarantaine par LFI. Trop authentique, sans doute.
Voir plusÀ sa place, Anaïs Belouassa-Cherifi, tombée sur Lyon comme un spam dans une boîte mail : non sollicitée, bruyante, difficile à supprimer.
Pas de racines lyonnaises pour Anaïs ? Pas grave, Twitter suffit. Pas de bilan local ? Une proposition de loi au compteur, trois punchlines, quinze indignations télévisées. Elle parle fort, gesticule bien, et légifère peu. À l’Assemblée, elle performe. Sur les réseaux, elle explose. Une députée 2.0 : filtres militants, effets spéciaux radicaux, mais très peu de contenu. Mais déjà, la voilà candidate à la mairie de Lyon en 2026.
Pas besoin de connaître les quartiers pour les gouverner, apparemment. Un bon signal Wi-Fi suffit.
Pendant ce temps, Aurélie Gries, elle, fait ce que les vrais militants font : bosser sans projecteur, défendre sans posture. Trop discrète pour les réseaux, trop efficace pour le casting.
Aurélie Gries parlait avec les habitants. Anaïs, elle, parle aux algorithmes.
Mais qu’on se le dise : entre une militante qu’on vire et une députée qu’on vend, on sait laquelle est encore digne.
Bravo Kélé de ne pas avoir lâché. Bravo et merci à tous les soutiens qui ont défendu ses droits devant les tribunaux. Honte à la préfecture qui se croit supérieure à la Justice en continuant à donner OQTF et IRTF, certainement applaudi des deux mains par son autorité supérieure ministérielle. La chasse aux migrants, ça suffit. La France a toujours été un pays melting pot sauf sous le Maréchal et j’ose espérer que cette triste période ne revient pas …
Voir plusEffectivement la précision est importante, merci pour le signalement !
Voir plusvous résumez très bien la FI.
Malheureusement, c’est ce qui semble marcher aujourd’hui.
On ne va pas leur reprocher, ils vont encore mal le prendre…
#NFP
Aurélie Gries, militante locale, ancrée, bosseuse, sincère : placée en quarantaine par LFI. Trop authentique, sans doute.
À sa place, Anaïs Belouassa-Cherifi, tombée sur Lyon comme un spam dans une boîte mail : non sollicitée, bruyante, difficile à supprimer.
Pas de racines lyonnaises pour Anaïs ? Pas grave, Twitter suffit. Pas de bilan local ? Une proposition de loi au compteur, trois punchlines, quinze indignations télévisées. Elle parle fort, gesticule bien, et légifère peu. À l’Assemblée, elle performe. Sur les réseaux, elle explose. Une députée 2.0 : filtres militants, effets spéciaux radicaux, mais très peu de contenu. Mais déjà, la voilà candidate à la mairie de Lyon en 2026.
Pas besoin de connaître les quartiers pour les gouverner, apparemment. Un bon signal Wi-Fi suffit.
Pendant ce temps, Aurélie Gries, elle, fait ce que les vrais militants font : bosser sans projecteur, défendre sans posture. Trop discrète pour les réseaux, trop efficace pour le casting.
Aurélie Gries parlait avec les habitants. Anaïs, elle, parle aux algorithmes.
Mais qu’on se le dise : entre une militante qu’on vire et une députée qu’on vend, on sait laquelle est encore digne.
Bravo Kélé de ne pas avoir lâché. Bravo et merci à tous les soutiens qui ont défendu ses droits devant les tribunaux. Honte à la préfecture qui se croit supérieure à la Justice en continuant à donner OQTF et IRTF, certainement applaudi des deux mains par son autorité supérieure ministérielle. La chasse aux migrants, ça suffit. La France a toujours été un pays melting pot sauf sous le Maréchal et j’ose espérer que cette triste période ne revient pas …
Effectivement la précision est importante, merci pour le signalement !