Sud de Lyon : des études sur la pollution aux perfluorés à une première mesure timide
À la suite des révélations sur la pollution aux perfluorés au sud de Lyon, les services de l’État ont mené des études. Ces dernières confirment, avec des nuances, les résultats de l’enquête journalistique. La préfecture a sommé l’entreprise Arkema d’arrêter l’utilisation de perfluorés pour fin 2024…
Il y a une réaction, certes. Mais est-elle à la hauteur ? Le 26 septembre, la préfecture a imposé des prescriptions supplémentaires à l’usine d’Arkema, basée à Pierre-Bénite. Dans un arrêté préfectoral publié, mais passé inaperçu, elle demande la cessation de l’utilisation de toutes les substances de PFAS d’ici le 31 décembre 2024 au plus tard.
« Dans l’attente de cette échéance, Arkema doit étudier la réduction par palier des rejets dans le Rhône du PFAS utilisé, le 6:2 FTS, avec un premier palier en mars 2023 », précisent les services de l’État.
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Journaliste lyonnais fan de l’Ouest, je suis à Rue89Lyon depuis 2020. Aujourd’hui associé et directeur de publication, je couvre les questions sociales mais aussi écologiques (pollution industrielles, scandale des perfluorés). Le travail, c’est la santé, à condition que le droit soit respecté. Un œil politique sur le Rhône. Pour me laisser une info, c’est ici plemerle@rue89lyon.
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