Il y a une réaction, certes. Mais est-elle à la hauteur ? Le 26 septembre, la préfecture a imposé des prescriptions supplémentaires à l’usine d’Arkema, basée à Pierre-Bénite. Dans un arrêté préfectoral publié, mais passé inaperçu, elle demande la cessation de l’utilisation de toutes les substances de PFAS d’ici le 31 décembre 2024 au plus tard.
« Dans l’attente de cette échéance, Arkema doit étudier la réduction par palier des rejets dans le Rhône du PFAS utilisé, le 6:2 FTS, avec un premier palier en mars 2023 », précisent les services de l’État.
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