
« En 2017, Le Progrès a organisé plus de 70 événements dans les cinq départements […] de son territoire, soit en moyenne un tous les cinq jours », peut-on lire dans l’enquête. Des « rendez-vous de la vallée de la chimie » à la « fête de l’entreprise », les journalistes du Progrès participent à ces événements. Pour réaliser un ménage, l’animation de la soirée par un ou une journaliste, ou pour préparer un supplément.
Dans ces éditions spéciales, « difficile pour un lecteur de distinguer ce qui relève de l’information ou de la communication. » Un membre du Syndicat National des Journalistes (SNJ) regrette l’absence des mentions communication ou publi-reportages, qui permettraient de faire cette distinction, puisque pour l’instant, un ancien collaborateur du journal, interrogé dans le cadre de l’enquête, nous explique que :
« On est aux frontières du journalisme et de la communication. Certains suppléments sont 100% éditoriaux, d’autres beaucoup moins. »
En plus d’un « mélange des genres » qui ne serait « pas sans danger pour l’indépendance éditoriale du journal », se pose aussi la question des partenariats. Ils peuvent aussi être un frein à l’exercice du journalisme. Vincent Lanier, journaliste au Progrès et premier secrétaire général du SNJ, l’illustre ainsi :
« Tu peux rencontrer des interlocuteurs sur le terrain qui te disent qu’ils financent le journal et qu’ils ont croisé ton directeur. Ça crée un petit malaise… »
Retrouvez l’enquête complète sur Médiacités Lyon.

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De toutes façons, le Progrès est mort. Plus personne n'achète ce genre de torchon. Pas même les poissonniers.
Media prisonnier de son idéologie politique,ou tout les articles semblent être autorisés et validés par le grand manitou de la pensée.De cette "France soumise" à l'abjecterie politique.
Se permettre de parler de torchon pour qualifier le quotidien le plus lu par les petites gens,les modestes,les simples en résumé;la vrai population,démontre a quel point l’élite gauchiste se fout royalement de ces gens et que seul compte sa nombrilocratie,crasseuse et nauséabonde.
Au final ce "torchon voué a disparaitre",a l'origine plutôt de centre droit,en apportant l'information dans les petites communes et la ruralité menait une véritable politique sociale.Pendant que d'autres passaient leur temps a disserter sur l’extrême droite...
Oui,il y a des torchons,et il y a aussi des torches-cul qui se prennent pour des serviettes...
Vous n'avez "de cesse de défendre une presse locale indépendante et de qualité" mais ne réagissez pas à ce genre de commentaire.Bien trop occupé à scruter les avis qui pourraient mettre en doute votre intégrité journalistique,afin d'y réagir le plus promptement possible.
J’aurais été bien exigeant d'attendre un meilleur exemple de ce que j'appelle la "nombrilocratie"
J'ajoute qu'un "media qui appartient à ces journalistes" ne garantie pas une liberté d’écriture hors de tout carcans idéologiques.
Sans parler du comble du comble;se revendiquer "media local indépendant",et utiliser un nom imposé dans tout le pays par une maison mère...Parisienne!
Libre à vous de qualifier comme vous voulez ces états de fait.
Bonne journée.
Et vous avez raison.Vous en donnez d'ailleurs la preuve en intervenant finalement dans l'opinion d'un lecteur,exprimée en commentaire,alors même que ce lecteur prenait la défense d'un organe de presse local...
-"Nous utilisons le nom Rue89, c'est un choix éditorial parfaitement assumé par une équipe de journalistes lyonnais"
Heu comment dire ? Vous assumez parfaitement être une équipe de journalistes lyonnais,libre et indépendante,qui choisit d'utiliser le nom d'un site parisien,lui même appartenant à un organe de presse national et généraliste,financé par la publicité et,accessoirement,l'argent du contribuable?
C'est ça j'ai bon?
Puisque vous pensez que je mélange tout je fais appel à votre omniscience pour me reprendre.
" Bonne(s) lecture(s), bonne journée, bon vent à vous"
Bon vent,Signification : "Au revoir, bon voyage, va-t'en, pars".
Aie! Je ne vous ai pas annoncé de départ en voyage.
Ha l’élégance des médias locaux libres et indépendants !
^^ C'était assez osé de votre part d'associer dans la même phrase la lecture (de vos articles/commentaires ) et le vent...