Les preuves d’une importante pollution aux « perfluorés » s’accumulent au sud de Lyon. Ce vendredi 14 octobre, les services de l’Etat ont mis en ligne les résultats d’analyses effectuées sur des poissons du Rhône. Et ces derniers ne sont pas brillants. Même dans une station en amont du Rhône, loin de l’usine Arkema de Pierre-Bénite, incriminée dans cette affaire de pollution, ces habitants du fleuve sont touchés.
Les études montrent que des PFAS (lire encadré), ces fameux polluants « éternels » dont le corps ne parvient pas à se débarrasser, sont présents dans toutes les espèces prélevées. Pour autant, ces PFAS ne seraient pas nécessairement issues des usines de la vallée de la chimie.

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