Loïc Graber, adjoint à la Culture, s’est essayé pour la deuxième fois au discours périlleux qui consiste à s’adresser en toute sympathie à un parterre de personnes exigeantes et en attente de prises de position fortes (ou encore de subventions, de signes de soutien, etc.) de la part des pouvoirs publics. Mais c’est le discours qui l’a suivi, celui de Georges Képénékian, maire de Lyon, qui a largement fait sourire voire surpris dans l’assemblée.
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