Ce dernier a donc demandé l’annulation des articles 3 et 4 de l’arrêté préfectoral du 11 décembre 2012 prévoyant l’abattage et ses suites. Le rapporteur public a rappelé que les tests pratiqués sur les deux pachydermes ont fait l’objet de lectures très différentes, aucun ne confirme avec certitude l’infection des animaux à la tuberculose. Le tribunal administratif de Lyon rendra sa décision dans une quinzaine de jours.
L’avocat de la Ville de Lyon, Me Frédéric Thiriez, a expliqué à la presse à la fin de l’audience que «des tractations sont en cours» entre le propriétaire des éléphants (Pinder), le préfet, la Ville et la princesse Stéphanie de Monaco pour le déplacement des éléphants dans les Alpes Maritimes. «Je pense que d’ici deux mois les choses seront faites», a précisé l’avocat.
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