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Photo : Charlotte Rousselle
Face à l'inertie des pouvoirs publics, les mobilisations citoyennes ont été les premières à alerter sur les violences de l'extrême droite à Lyon et à exiger la fermeture des locaux de ces groupuscules. Retour sur quinze ans de combat antifasciste.
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Pendant des années, la frange la plus radicale de l’extrême droite lyonnaise a bénéficié d’un laisser-faire de la part du diocèse, avec la connivence de l’église Saint-Georges. Au fil des années, l'édifice est devenu un lieu central pour plusieurs mouvances de l’extrême droite locale.
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L'implantation de mouvements d'extrême droite violents à Lyon à partir des années 2010 a longtemps embarrassé la Ville de Lyon et la préfecture du Rhône. Il faudra attendre le tournant des années 2020, alors que Lyon est devenue la "capitale de l'extrême droite radicale", pour que le phénomène ne soit plus traité comme un problème marginal.
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Depuis quinze ans, plusieurs dossiers de violences d'extrême droite radicale ont souffert d'investigations lacunaires, de quoi entraîner un sentiment d’impunité chez ces militants violents. Rue89Lyon revient sur huit affaires où le parquet et les services d’enquête ont montré leurs failles entre 2010 et 2025.
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Rue89Lyon a réalisé un recensement inédit des actions violentes de l'extrême droite à Lyon et leurs suites judiciaires, de 2010 à 2025. Les militants, très actifs dans la capitale des Gaules, s'en sortent souvent à bon compte.
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