
Rien que du classique. Malheureusement. La vallée de l’Arve, le bassin lyonnais nord-Isère et la vallée du Rhône sont les territoires les plus touchés et devraient dépasser le seuil d’information et de recommandations. Les causes sont bien connues : le froid et le beau temps avec une plus grande demande en chauffage favorisent l’accumulation des polluants.
En cas de pointe de pollution, un premier niveau information est mis en place. Des recommandations sanitaires et comportementales sont préconisées. Il est notamment recommandé d’abaisser la vitesse sur les différentes voiries de l’agglomération lyonnaise pour lutter contre ce phénomène.
Dans un communiqué, l’organisme en charge de la surveillance de la qualité de l’air, Air Rhône-Alpes, expose les causes de la fin de l’épisode :
« Samedi 14 février, un vent marqué reste présent en Vallée du Rhône, et une perturbation orageuse est attendue sur l’ensemble de la région durant tout le week-end, assurant un lessivage efficace de l’atmosphère. »
> Article mis à jour le 14 février à 15h après la fin du pic de pollution.

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