Parmi les repreneurs potentiels figurent : un groupe industriel européen, trois fonds d’investissements (américain, britannique et italien) et deux personnes physiques. Enfin, la CGT a également fait parvenir une lettre d’intentions portant sur la création, autour de Kem One, d’un consortium réunissant collectivités publiques et opérateurs privés. Toutes ces offres, à l’exception d’une seule, portent sur une reprise globale du groupe, a-t-on encore indiqué.
L’administrateur judiciaire, Bruno Sapin, a indiqué qu’il allait demander au tribunal de commerce de Lyon de repousser au 5 juillet la date de dépôt des offres.
1 300 personnes sont concernées par la procédure de redressement judiciaire. Le groupe Kem One, dont le siège est à Lyon, est né de la cession par le chimiste Arkema de son pôle vinylique au financier américain Gary Klesch en juillet 2012. Il avait été placé en redressement judiciaire le 27 mars dernier.
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