« L’agglomération enregistre un score historique de production de logements en dépassant les objectifs de 4000 logements du PLH. »
Pour la première fois, l’Ouest dépasse l’Est sur la répartition territoriale avec 50% de construction sur le centre, 22% sur l’Est et, donc, 28 sur l’Ouest.
Les chiffres sont différents pour les logements non sociaux : 3700 logements privés ont été construits l’an dernier, contre 4550 en 2011. Une « tendance nationale » qui n’est donc pas propre au Grand Lyon. Pour Olivier Brachet, cité par le Progrès:
« En 2012, après trois années très fortes, la réduction du volume des ventes de logements privés a été de 18 %. On peut penser que c’est lié à une perte d’attractivité du dispositif Scellier. Et on ne sait encore ce que va donner le dispositif Duflot, même si les professionnels semblent optimistes. »
Pour les prochaines années, le Grand Lyon promet donc de continuer son effort sur les logement sociaux.
« Cela devrait permettre aux promoteurs de rester au- dessus des 3 500 logements privés dans l’année, ce qui est leur seuil critique », précise Olivier Brachet.
Mais comment expliquer que certains villes comme Lyon arrivent à soutenir l'effort de logement prôné par le président Hollande et pas toutes?