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À la Une de la Place des gones :
NL
Nadia L.
1 commentaire
Bonjour,
Dans cet article, je lis :
« Sur leurs pancartes, elles dénoncent un meurtre qui selon elles aurait pu être évité : Claudine avait porté plainte deux fois pour violences conjugales. La première plainte, déposée en 2014, a été classée sans suite. Elle n’a jamais eu de nouvelles de la seconde, déposée en 2019″.
Ma question : pouvez-vous préciser qui classe les plaintes en France ? Et selon quels critères ?
Plus loin, je lis :
« Ça ne sert à rien de porter plainte, les policiers ne font rien ! Et voilà le résultat », constate, amère, une collègue de Claudine.
Mes questions :
– Que peuvent faire les policiers sinon prendre les plaintes, ce qui a été fait semble-t-il dans le cas de Claudine puisque vous citez deux plaintes, en 2014 et 2019.
– Ce sont ensuite les policiers me semble-t-il qui font remonter la plainte au procureur, lequel décide de la suite à y donner, ou pas.
– Est-ce bien ainsi que se déroule la procédure en France ? Ou pas ? Pouvez-vous éclaircir ces points car sinon on n’y comprend rien du tout sur qui fait quoi, et pourquoi, or le sujet est grave et sérieux.
En outre, tout centrer sur les émotions (tristesse, colère) laisse le sentiment qu’ »on » ne peut rien y faire, que « ça ne sert à rien ». C’est catastrophique pour toutes les victimes de violence l’impuissance que cela renvoie.
De memoire la Japan Touch était au Double-Mixte bien avant 2005.
J’ai été à la toute premiere, qui était pratiquement vide, alors que j’était encore en France, ainsi qu’etudiant à la Doua. Et je suis parti (au Canada) en 2000.
Je m’en rappel bien car c’etait un choc par rapport au Ninkasi.
« Sur leurs pancartes, elles dénoncent un meurtre qui selon elles aurait pu être évité : Claudine avait porté plainte deux fois pour violences conjugales. La première plainte, déposée en 2014, a été classée sans suite. Elle n’a jamais eu de nouvelles de la seconde, déposée en 2019″.
Ma question : pouvez-vous préciser qui classe les plaintes en France ? Et selon quels critères ?
Plus loin, je lis :
« Ça ne sert à rien de porter plainte, les policiers ne font rien ! Et voilà le résultat », constate, amère, une collègue de Claudine.
Mes questions :
– Que peuvent faire les policiers sinon prendre les plaintes, ce qui a été fait semble-t-il dans le cas de Claudine puisque vous citez deux plaintes, en 2014 et 2019.
– Ce sont ensuite les policiers me semble-t-il qui font remonter la plainte au procureur, lequel décide de la suite à y donner, ou pas.
– Est-ce bien ainsi que se déroule la procédure en France ? Ou pas ? Pouvez-vous éclaircir ces points car sinon on n’y comprend rien du tout sur qui fait quoi, et pourquoi, or le sujet est grave et sérieux.
En outre, tout centrer sur les émotions (tristesse, colère) laisse le sentiment qu’ »on » ne peut rien y faire, que « ça ne sert à rien ». C’est catastrophique pour toutes les victimes de violence l’impuissance que cela renvoie.
Merci
MB
Micky Brunetti
De memoire la Japan Touch était au Double-Mixte bien avant 2005.
J’ai été à la toute premiere, qui était pratiquement vide, alors que j’était encore en France, ainsi qu’etudiant à la Doua. Et je suis parti (au Canada) en 2000.
Je m’en rappel bien car c’etait un choc par rapport au Ninkasi.
Commentez, réagissez et construisez avec nous l’actualité locale.
Bonjour,
Dans cet article, je lis :
« Sur leurs pancartes, elles dénoncent un meurtre qui selon elles aurait pu être évité : Claudine avait porté plainte deux fois pour violences conjugales. La première plainte, déposée en 2014, a été classée sans suite. Elle n’a jamais eu de nouvelles de la seconde, déposée en 2019″.
Ma question : pouvez-vous préciser qui classe les plaintes en France ? Et selon quels critères ?
Plus loin, je lis :
« Ça ne sert à rien de porter plainte, les policiers ne font rien ! Et voilà le résultat », constate, amère, une collègue de Claudine.
Mes questions :
– Que peuvent faire les policiers sinon prendre les plaintes, ce qui a été fait semble-t-il dans le cas de Claudine puisque vous citez deux plaintes, en 2014 et 2019.
– Ce sont ensuite les policiers me semble-t-il qui font remonter la plainte au procureur, lequel décide de la suite à y donner, ou pas.
– Est-ce bien ainsi que se déroule la procédure en France ? Ou pas ? Pouvez-vous éclaircir ces points car sinon on n’y comprend rien du tout sur qui fait quoi, et pourquoi, or le sujet est grave et sérieux.
En outre, tout centrer sur les émotions (tristesse, colère) laisse le sentiment qu’ »on » ne peut rien y faire, que « ça ne sert à rien ». C’est catastrophique pour toutes les victimes de violence l’impuissance que cela renvoie.
Merci
Voir plusDe memoire la Japan Touch était au Double-Mixte bien avant 2005.
Voir plusJ’ai été à la toute premiere, qui était pratiquement vide, alors que j’était encore en France, ainsi qu’etudiant à la Doua. Et je suis parti (au Canada) en 2000.
Je m’en rappel bien car c’etait un choc par rapport au Ninkasi.
Célébration à Strasbourg aussi *
* https://www.rue89strasbourg.com/ceremonie-morts-rue-bas-rhin-samedi-1er-novembre-365201
Voir plusje suis désolée d’être cette personne, mais le mois du doc c’est dans toutes les bibliothèques, donc dans toutes les bibliothèques de la métropole !
Voir plusBonjour,
Dans cet article, je lis :
« Sur leurs pancartes, elles dénoncent un meurtre qui selon elles aurait pu être évité : Claudine avait porté plainte deux fois pour violences conjugales. La première plainte, déposée en 2014, a été classée sans suite. Elle n’a jamais eu de nouvelles de la seconde, déposée en 2019″.
Ma question : pouvez-vous préciser qui classe les plaintes en France ? Et selon quels critères ?
Plus loin, je lis :
« Ça ne sert à rien de porter plainte, les policiers ne font rien ! Et voilà le résultat », constate, amère, une collègue de Claudine.
Mes questions :
– Que peuvent faire les policiers sinon prendre les plaintes, ce qui a été fait semble-t-il dans le cas de Claudine puisque vous citez deux plaintes, en 2014 et 2019.
– Ce sont ensuite les policiers me semble-t-il qui font remonter la plainte au procureur, lequel décide de la suite à y donner, ou pas.
– Est-ce bien ainsi que se déroule la procédure en France ? Ou pas ? Pouvez-vous éclaircir ces points car sinon on n’y comprend rien du tout sur qui fait quoi, et pourquoi, or le sujet est grave et sérieux.
En outre, tout centrer sur les émotions (tristesse, colère) laisse le sentiment qu’ »on » ne peut rien y faire, que « ça ne sert à rien ». C’est catastrophique pour toutes les victimes de violence l’impuissance que cela renvoie.
Merci
De memoire la Japan Touch était au Double-Mixte bien avant 2005.
J’ai été à la toute premiere, qui était pratiquement vide, alors que j’était encore en France, ainsi qu’etudiant à la Doua. Et je suis parti (au Canada) en 2000.
Je m’en rappel bien car c’etait un choc par rapport au Ninkasi.
Célébration à Strasbourg aussi *
* https://www.rue89strasbourg.com/ceremonie-morts-rue-bas-rhin-samedi-1er-novembre-365201
je suis désolée d’être cette personne, mais le mois du doc c’est dans toutes les bibliothèques, donc dans toutes les bibliothèques de la métropole !