Dans un article publié le 29 août 2025 et intitulé « Biennale de Lyon : derrière la démission de la directrice, une mise à pied et des tensions », il est prétendu que je me serai rendue coupable de « harcèlement » dans le cadre de mes anciennes fonctions de Directrice générale de la Biennale de LYON, et que ces faits seraient à l’origine de mon départ.
J’ai, jusqu’à présent, refusé de m’exprimer sur ces accusations, afin de ne pas nuire à la bonne marche de la Biennale de Danse qui s’ouvrait quelques jours après la publication de l’article, mais le contenu de la publication mérite, dans le cadre du respect du contradictoire, que soient formulées plusieurs observations.
D’abord, et c’est l’essentiel, je conteste vigoureusement ces accusations de « harcèlement », qui d’ailleurs n’ont donné lieu à aucune plainte pénale à mon encontre et qui demeurent en l’état des accusations imprécises.
En effet, les termes de « comportements inappropriés », d’ « attitude humiliante », et de « pressions », présentés entre guillemets, sont l’exacte reproduction des termes employés dans la lettre me notifiant la fin de mon préavis de démission pour faute.

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