Chaque année en France, 3,5 milliards de couches bébé sont jetées. Toutes sont aujourd’hui soit incinérées, dilapidant les nutriments (azote, phosphore, potassium) contenus dans l’urine et les matières fécales, soit enfouies en décharge, où elles mettront plus de 500 ans à se dégrader.
Toutes ? Non, car des sociétés ont mis au point des couches à base de cellulose, et non de plastiques, qui peuvent se transformer en compost. Spécialiste des textiles sanitaires à usage unique compostables industriellement, la bordelaise Mundao a ainsi fourni une douzaine de collectivités, dont Lyon, Limoges, Bordeaux… et plusieurs réseaux de crèches privées ou associatives.

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