Bien avant que cela ne devienne mainstream chez les jeunes cadres dynamiques des villes, je suis devenue végétarienne. C’était en 2016, lorsqu’on écarquillait encore les yeux à l’idée d’un repas sans viande, que mon seul choix au restaurant était des frites et de la salade, et que le rayon végé au supermarché se résumait un écœurant ersatz de steak au soja.
Depuis, les temps ont bien changé. Les restaurants proposent presque tous un plat végétarien et les imitations (presque) réalistes de produits animaux sont devenus accessibles beaucoup plus facilement. Le progrès ne s’est pas arrêté là : en 2021, j’ai eu le plaisir de croquer dans mon premier kebab vegan à Lyon.
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