À gauche, il ne faut jamais trop se presser. Parler des élections municipales 2026 à un an du scrutin et envisager une union des gauches au premier tour, « c’est encore tôt », estime Sandrine Runel, cheffe de file du Parti socialiste à Lyon. « Rien ne sera décidé avant septembre ou octobre », temporise-t-elle.
Alors qu’ils sont de plus en plus nombreux à se placer sur la ligne de départ à droite et au centre, il n’y a que deux candidats déjà positionné à gauche : Nathalie Perrin-Gilbert (Lyon en commun) – qui a annoncé sa candidature vendredi 21 mars au soir – et Grégory Doucet, maire Les Écologistes de Lyon. Il y attend ses adversaires depuis un petit bout de temps, après s’être déclaré dès 2023, banalisant du même coup un acte politique d’importance.
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