« Il y a de la violence dans tous les labos, mais au sein du Centre international de recherche en infectiologie (Ciri), ça atteint des niveaux délirants. »
Le constat est dur, sans appel. Il est fait par Clément Luy, représentant du personnel au sein de l’Ecole normale supérieure (ENS) de Lyon. Ce dernier a participé à l’enquête CHSCT lancée par l’ENS l’hiver dernier, après que des accusations de harcèlement moral sont remontées via la cellule d’écoute – mise sur pied après de longues années de lutte dans un contexte de médiatisation de violences sexistes et sexuelles.
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