« Arkema, pollueur éternel. » C’est le message simple, mais percutant, que sont venus brandir les militants d’Alternatiba 69, dimanche 18 juin, aux portes du site industriel de Pierre-Bénite, au sud de Lyon. Au sol, ils ont dessiné la forme d’un corps et déployé de la rubalise pour figurer une « scène de crime écologique ».
En cause, le rejet par l’usine de substances perfluoroalkylées ou perfluorés, souvent appelées PFAS ou polluants éternels. Ces derniers ont contaminé l’eau, l’air et le sol de la région pendant des années.

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