« Je crois que l’histoire du Pont [diminutif de De l’Autre côté du pont ndlr] a vraiment commencé en 2002. J’avais 23 ans. Avec Axel Hernandez et Jérôme Duparc, on a fait un pèlerinage à vélo jusqu’à Millau, pour se rendre sur les ruines du Macdo cassé par José Bové. »
C’est avec un brin de nostalgie dans le regard que Boris Tavernier aujourd’hui âgé de 44 ans, membre du trio fondateur du bar De l’Autre côté du pont, rassemble les morceaux.
Originaire du nord de la France, il travaille en 2002 dans les Pentes de la Croix-Rousse, au Bistroy (aujourd’hui renommé Les Valseuses) quand l’idée de monter un bar restaurant émerge de ses conversations avec ses deux compères.
Lisez la suite pour 1€
En profitant de notre offre d’essai, résiliable en ligne à tout moment.
Pour accéder à cet article, il faut être abonné. Pourquoi ?
Les informations exclusives, les enquêtes et certains reportages constituent l’édition abonnés de Rue89Lyon. En tant que média indépendant, nos ressources proviennent de nos lectrices et lecteurs abonnés, aucun milliardaire ni groupe bancaire ne nous finance.
Nous demandons à nos lecteurs une faible contribution pour disposer à Lyon d’un média vigie des pouvoirs locaux, capable d’enquêter et de traiter les enjeux locaux en profondeur et dans la durée.
Chaque abonnement compte. Toutes nos recettes sont investies dans un journalisme local indépendant, dont la force et la réactivité dépend directement du nombre d’abonnés actifs.
Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…