Depuis mars, et surtout, depuis le passage en force du gouvernement via l’article 49.3 sur la réforme des retraites, les vidéos, certificats médicaux et témoignages de violences policières sont légion à Lyon.
Des violences qui touchent tout le monde, même les « street médics », des citoyens qui prennent, le temps d’une manif, le rôle de premiers secours. Une nouveauté pour certain·es d’entre eux, un tournant décisif de la stratégie du maintien de l’ordre de cette mobilisation pour d’autres.
« Ils m’ont attrapée par le cou, j’avais mal, je criais que j’avais mal, le policier ne m’écoutait pas. On n’a rien compris à ce qui nous arrivait », se remémore douloureusement Zeila, 22 ans, street médic de l’association Street Médic 69.
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