En mai, les remises à la rue consécutives à la fin du plan froid se sont accélérées, conséquence d’un double phénomène.
D’un côté, les critères pour être maintenu dans le dispositif d’hébergement se sont encore durcis. Désormais, seules les familles avec enfants de moins d’un an et/ou avec une femme enceinte de plus de six mois ont droit à un toit.
De l’autre, les places d’hébergement d’urgence pérennes annoncées à la sortie du plan froid par le gouvernement tardent à être créées dans le Rhône.
Résultat, les comités de soutien aux enfants sans-abri, fédérés au sein du collectif « Jamais sans toit » ont dû recommencer les mobilisations et, certaines écoles ont été réoccupées.
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