« C’est un cheminement progressif et naturel, aucun événement particulier ne nous a poussés à prendre cette décision »
Les armes en question sont de 4e catégorie et les élus ne savent pas encore à quoi elles ressembleront. « Notre choix n’est pas arrêté », explique Michel Destot. « Quoiqu’il en soit , les policiers ne pourront les utiliser que pour se défendre », se sent-on obligé de préciser.
Le temps de choisir l’équipement, d’aménager une armurerie, de recruter 10 hommes supplémentaires et de les former, les premières patrouilles armées ne débuteront pas avant 2014. Le coût total de l’opération est de 900 000 euros.
Tous les quartiers grenoblois seront concernés, excepté les trois quartiers classés en Zone de Sécurité Prioritaire (La Villeneuve, Mistral, Teissaire) désormais surveillés par la police.
Environ 40% des polices municipales françaises sont armées, notamment celle de Lyon.
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