Petite surprise : selon la société Tomtom qui vient de publier une étude sur le sujet, la capitale des Gaules réputée pour ses bouchons, se classe en cinquième position derrière Marseille, Paris, Bordeaux et Nice. Et occupe le dix-septième rang européen. Sur un trajet réalisé en une heure en période fluide, le conducteur lyonnais mettra 34 minutes supplémentaires en heures de pointe, contre 46 minutes pour son homologue marseillais.
Pour Claude Polidori, président de l’Automobile club du Rhône, la raison est toute simple :
«Si on roule un peu mieux à Lyon que les années précédentes, c’est parce qu’en réalité on roule moins. On est bloqué de partout avec les travaux ».
D’une certaine manière, ce responsable de l’Automobile club donne raisons aux partisans de la limitation de la voiture en ville : gênez la circulation des voitures, l’automobiliste prendra les transports en commun ou son vélo.
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