Dans ce courrier, Markus Prossnigg, l’architecte de cet édifice à l’architecture complexe, met en cause le groupe « Vinci constructions » sur l’exécution et le respect de ses obligations contractuelles.
L’architecte pointe du doigt de sérieuses malfaçons qui auront un impact significatif, non seulement aujourd’hui, dans le montant global du musée mais aussi ultérieurement, dans l’entretien de ce bâtiment.
« Des chicanes »
Markus Prossnigg reléve ainsi que :
« Des ouvrages pour lesquels vos sous-traitants interviennent sans plan, sans directive, sans coordination (…) seront amenés à être détruits et reproduits ».
Le conseil général minimise la portée de ce courrier en évoquant des chicanes qui sont « monnaie courante » entre les architectes et le maître d’ouvrage sur ce type de chantier. « Il est normal qu’il y ait des dissonances », explique Denis Longin, porte-parole du Département.
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