Dans sa plainte, le détenu a fait part de violences avec des détails suffisamment graves pour que les gendarmes se penchent d’un peu plus près sur le comportement de certains surveillants.
« Ca fait deux ans qu’on demande à notre direction de faire le ménage »
La direction interrégionale des services pénitentiaires de Lyon a refusé de commenter cette affaire. Alain Chevallier, secrétaire général adjoint su syndicat UFAP/UNSA-Justice, s’exprime quant à lui :
« Je peux (…) vous certifier que certains des collègues entendus n’ont pas du tout le profil des reproches qu’on leur fait.
Maintenant, ça fait deux ans qu’on demande à notre direction de faire le ménage dans la sphère proche du chef d’établissement ».
Un sentiment partagé par un surveillant qui pointe « un manque de communication entre la direction et le corps de commandement ».
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