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Ce soir-là, c’était celui du 16 octobre 2010. SOS racisme organisait un testing dans trois établissements de nuit de la Loire. Le principe est simple : trois couples se présentent successivement à l’entrée d’une discothèque. « Un blanc, un black, un beur » selon les termes du Progrès. Les représentants de SOS racisme observent alors le comportement des portiers. Si l’entrée est refusée à certains « testeurs », l’association monte au créneau.
L’un des trois couples s’était vu, ce soir là, refuser l’entrée du « 1810 ». Dans la foulée une plainte a été déposée par SOS Racisme. Mais Le tribunal correctionnel de Saint-Etienne a débouté l’association, considérant qu’il n’y avait pas eu discrimination raciale. SOS Racisme envisage de faire appel de cette décision.
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