«A priori, elle n’a laissé aucune lettre» pour expliquer son geste, a dit la directrice adjointe de l’hôpital, Jacqueline Barthélémy-Bougault. Elle s’est par ailleurs refusée à évoquer d’éventuels problèmes familiaux, soulignant qu’«une enquête de police était en cours». «C’est un choc pour le personnel et pour la direction», a souligné la dirigeante, qui s’est rendue dans le service.
Selon la CGT, elle travaillait «depuis plus de vingt ans» au sein d’une «équipe très soudée» de cinq personnes. «Elle n’avait toujours aucune réponse, à trois semaines du changement, sur ce qu’elle allait devenir» et «n’a pas supporté l’incertitude, les fausses promesses, le changement brutal et imposé», estime l’organisation syndicale.
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