La première fois que Nicolas Sarkozy est venu à Eurexpo à Lyon, c’était le 5 avril 2007, à la veille du premier tour de l’élection présidentielle. Il était candidat depuis très longtemps et avait tenu meeting devant 15 000 personnes. Ce 19 janvier, il ne l’est pas encore. Officiellement en tout cas. Après une visite chez l’industriel Seb en Isère, il devait adresser ses voeux « aux forces économiques et aux acteurs de l’emploi ».
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L’objectif de 5 000 personnes à demi rempli
Nicolas Sarkozy n’est donc pas candidat mais il veut du monde pour l’écouter. L’objectif de 5000 personnes avait été affiché. Le jour J, toutes les chaises étaient occupées. Mais après comptage, le hall aux rideaux tirés n’accueillait que 2500 personnes.
Pourtant, la préfecture du Rhône n’avait pas ménagé ses efforts, ni les générations et syndicats patronaux. Selon le journal lyonnais les Potins d’Angèle, 18 000 invitations auraient même été envoyées.
Et pour être sûr d’avoir suffisamment de gens pour faire la claque, l’UMP du Rhône avait mobilisé tout le ban et l’arrière ban que compte sa fédération : élus et militants étaient présents. On trouvait même des jeunes populaires, étudiant voire lycéens qui avaient déserté leurs cours, assez loin des « forces économiques et acteurs de l’emploi ».
Un discours contre les « mensonges » des « autres »
Parce qu’il n’est pas candidat, le chef de l’Etat n’a cité aucun des noms de ceux qui se sont déjà déclarés dans la course à la présidentielle. Mais il a attaqué leur « mensonges » pendant une bonne moitié de son discours :
« Certains disent qu’il faut refuser la mondialisation. Ils mentent. (…) Certains disent il faut refuser l’Europe. Ils mentent. (…) Certains disent la solution, c’est la fermeture des frontières. Ils mentent. (…) La France a besoin de fonctionnaires. Mais leur dire « on peut vous embaucher plus nombreux et payer plus », c’est un mensonge ».
Nicolas Sarkozy s’en est aussi pris à Lionel Jospin, sans le citer également :
« La fatalité est un mot qui ne fait pas partie de mon vocabulaire. (…) Je ne serai jamais l’homme d’un nouveau Vilvoorde ».
Il a aussi brocardé ceux qui se sont réjouis de la dégradation de la note de la France par les agences de notation.
Quant aux annonces qu’il a faites à la fin de son propos, il les avait déjà annoncées, la veille, au sommet social à l’Élysée.
Les militants UMP ne voient que le président
A la sortie, autour des douze immenses buffets que les équipes de Nicolas Sarkozy avait généreusement dressés, les invités semblaient se répartir en deux catégories : les militants ou sympathisants UMP, et les autres.
D’un côté, on a vu « l’homme de la situation » avec un discours « pragmatique ». A l’image de cette sympathisante « de droite » :
« Il a dit la vérité. J’espère qu’il va remporter haut la main les élections. Depuis 30 ans nous vivons au-dessus de nos moyens. Nicolas Sarkozy n’est pas arrivé dans de bonnes conditions. Mais si on ne l’avait pas eu, on serait au niveau de la Grèce ».
De l’autre côté, certains chefs d’entreprise invités avaient l’impression d’avoir été floués parce qu’ils avaient entendu non le Président de la République mais un candidat à la présidentielle. Comme ce dirigeant d’un organisme de formation :
« On était dans un meeting de campagne électorale. Il n’a fait qu’attaquer ses adversaires. S’il faut faire des sacrifices, qu’il diminue les revenus des parlementaires et ses propres revenus».
A 14 heures, le buffet était fermé et les quinze cars de CRS ont pu se retirer sirènes hurlantes.
Aujourd'hui, il félicite SEB de sa production française (qu'en reste-t-il ?????), après avoir il y a quelque temps félicité les skis Salomon d'être revenus dans la région (20 emplois ...) et, ce même jour, il laisse partir Lejaby en Tunisie ...
il y a des zozos qui croient encore en lui ? MDR :-((
Et personne ne gueule ?????
Cet escroc de haute vole de la grande finance internationale déprédatrice de la France se garde bien de se plaindre de mes démystifications prouvées jusqu’à l’évidence sur mes blogs. « Rien que des hypermensonges, des impostures monumentales, des magafraudes, des gigamagouilles de cet usurpateur élu par des sacs de pognon sale du grand banditisme international, faisant appel à la lâcheté vénale des initiés soudoyés. Sarko-les-pots-de-vin, ce baladin de comédie de la grande finance déprédatrice de la France, avec ses bobardiers politiques sont intarissable pour dévier insidieusement les vrais problèmes ci-dessous vers des racontars des comptoirs, des papotages ces concierges. À cette bande de canaille a été démontré textuellement et sans conteste en justice l’impossiblité d’outrager des ordures selon la définition de la loi « dégradation civique ».
Percepts directifs universels de la direction de l’action politique du chanoine jésuite Adam Weishaupt, professeur en droit, appliqués par l’association des malfaiteurs de Sarko-les-pots-de-vin avec le venin de leur crotale décati Eva Joly et même de la clique mafieuse de Martine Brochent-Delors et son fricoteurs méconnu Strauss-Kahn, cette typique patraque soulaude de la décadence de la corruption trompant des électeurs par son pseudonyme Martin Aubry comme ci-dessous. (Ps 7 et 9 des blogs).
« Le premier secret pour diriger les hommes et d’être maître de l’opinion publique est de semer la discorde, le doute et créer des points de vue opposés, le temps nécessaire pour que les hommes, perdus dans cette confusion, ne s’y retrouveront plus et soient persuadés qu’il est préférable de ne pas avoir d’opinion personnel quand il s’agit des affaires de l’État ». (Adaptation de la vieille maxime des empires romains : ″ Diviser pour régner″.
« Le deuxième secret consiste à exacerber les faiblesses humaines, toutes les mauvaises habitudes, les passions et les défauts jusqu’à ce que règne une totale incompréhension entre les hommes. […] Il faudra déshabituer les hommes à penser par eux-mêmes : […] on occupera leur esprit à des joutes oratoires qui ne sont que des simulacres […] jusqu’au moment où les hommes en seront tellement lassés qu’ils perdront en dégout tous les orateurs, de quelque bord qu’ils soient ».
« Il faudra choisir les futurs chefs d’État parmi ceux qui sont serviles et soumis inconditionnellement aux Illuminés et aussi parmi ceux dont le passé est entaché d’un coin de secret. […] Ainsi, il sera possible aux Illuminés de contourner les lois et de modifier les constitutions ».
C’est ainsi ont été foutus en l’air par la hyper-mafia de la grande finance la Haute Cour de justice et, entre autres, les dispositions salvatrices contre la corruption politico-judiciaire, l’article 86 C. pén. et les articles 679 et suivants du Code de procédure pénale pour aboutir à la banqueroute des finances nationaux (Crise) par des escroqueries et vols gigantesques en bande organisée. Voir intro p. 2. * Michael Lewis. The Big Short. La Casse du siècle. Éditions Sonatine n° 053, sept. 2010.
« Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne reconnaît aucune responsabilité ! »
« Rien qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûr que tout ce qui se passe en politique a été bel et bien programmé ! » Theodore Roosevelt
« La mafia n’est plus le pouvoir parallèle, c’est LE pouvoir, c’est la nouvelle bourgeoisie et il faut cesser de la considérer comme une simple déviance. » (Zemor O.).
Dietrich13.wordpress.com¬¬|| Dietrichpeter.nouvelobs.com, Juriste DEA. Criminologie. Sciences pénales, jamais démenti.
Je ne le sentais pas mature pour la fonction.
Je ne voulais pas non plus voter aujourd'hui pour lui, car les dégats ont été considérables en quelques années.
Mais j'ai vu son discours à Lyon ( retransmis sur I-TV ).
Et j'ai été séduit. j'ai l'impression qu'il a beaucoup évolué ; en particulier sur la nécessité de relocaliser et réparer le tissu industriel.
Mais votre article est aux antipodes de mon ressenti !