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Pourquoi la mairie de Lyon peut-elle hisser le drapeau ukrainien, mais pas celui de la Palestine ?

La mairie de Lyon a de nouveau hissé le drapeau de l’Ukraine au fronton de la mairie centrale. Il y a deux semaines, le tribunal administratif avait pourtant interdit au maire d’arborer le pavillon de la Palestine. De quoi nourrir un certain flou juridique, auquel la justice lyonnaise n’a qu’en partie répondu.

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Pourquoi la mairie de Lyon peut-elle hisser le drapeau ukrainien, mais pas celui de la Palestine ?
Le drapeau de l’Ukraine sur l’hôtel de Ville de Lyon, lundi 6 octobre, à l’occasion d’une manifestation de soutien à la Palestine.

Environ 200 personnes, drapeaux de la Palestine flottant au-dessus de leurs têtes, ont manifesté devant l’hôtel de Ville de Lyon, ce lundi 6 octobre au soir, en soutien aux dizaines de milliers de victimes de la guerre menée par Israël à Gaza. Au fronton du bâtiment, le drapeau ukrainien flottait au côté des pavillons français, européen et lyonnais.

Il y a quelques mois encore, cette scène, quoique très politique, n’aurait rien eu d’inhabituel. Mais, entre-temps, le tribunal administratif (TA) de Lyon a imposé au maire Grégory Doucet (Les Écologistes) de retirer le drapeau palestinien, arboré – temporairement – aux frontons de plusieurs mairies à l’occasion de la reconnaissance officielle de la Palestine par la France, fin septembre.

De quoi susciter une certaine amertume chez certains, qui dénoncent un « deux poids deux mesures » de la Justice sur la question palestinienne.

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