Au fond du local de la Confédération nationale du Travail – solidarité ouvrière (CNT-SO) à Villeurbanne, une grande table réunit neuf des dix salarié·es grévistes chargé·es du nettoyage de l’usine Vitacuire, à Meyzieu.
Le café circule, les regards s’échangent, mais quand il s’agit de prendre la parole, chacun hésite, renvoyant la responsabilité au voisin. « Abdoul, t’avais dit que t’avais des choses à raconter. C’est le moment », lance Isha en souriant, pour briser le silence.

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