1er mois à 1€

Actualités, enquêtes à Lyon et dans la région

À la Métropole de Lyon, Aulas fracture le centre et ravive les braises de l’héritage Collomb

Ce lundi 29 septembre, les élu·es de la Métropole de Lyon se rassemblaient quelques jours après le lancement dans l’arène de Jean-Michel Aulas pour la mairie de Lyon. Une entrée en jeu qui chamboule les équilibres dans les rangs métropolitains. Et qui pose la question de l’héritage “Collomb-Aulas”.

, ,
Édition abonnés
Le conseil de la Métropole
Le conseil de la Métropole de Lyon s’est rassemblé ce lundi 29 septembre.

Un climat tendu, des élus sur les dents, des « délinquants en col blanc » et des interruptions de séances… Pas de doute, les municipales (et métropolitaines) sont bien lancées à Lyon. Elles se sont, sans surprise, invitées au conseil de la Métropole ce lundi 29 septembre. 

À J + 3 de l’entrée (officielle, cette fois) de Jean-Michel Aulas dans les municipales, des éclaircissements devaient se faire dans les rangs de la Métropole. Trois élus centristes du groupe Alliance Sociale démocrate et progressiste (Fouziya Bouzerda, Pierre Chambon et Izzet Doganel) se sont en effet rangés derrière l’ancien patron de l’OL.

“Ce n’est pas sans impact sur notre assemblée”, a remarqué en propos liminaires David Kimelfeld. Né il y a seulement six mois — d’une alliance biscornue entre d’anciens ennemis, David Kimelfeld et Fouziya Bouzerda (Modem) — ce groupe voit déjà repartir trois élus.

Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous

Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Abonnez-vous
Abonnez-vous maintenant pour suivre l’actualité locale.

Déjà abonné⋅e ?

Connectez-vous

#David Kimelfeld

Activez les notifications pour être alerté des nouveaux articles publiés en lien avec ce sujet.

Voir tous les articles
Partager
Plus d'options