En 2024, le « grec » était élu le troisième plat de snacking préféré des Français, devant le sandwich classique et derrière la pizza et le burger (selon l’étude Speak Snacking 2024). Mais aujourd’hui, comme le résume un maître kebabier lyonnais du 6ᵉ arrondissement, « manger un kebab devient presque un luxe ».
Selon des calculs made in Rue89Lyon, le prix moyen du menu complet, c’est-à-dire kebab-frites-boisson, a dépassé la barre des 11 euros à Lyon. Pré-Covid, on pouvait encore en trouver à 5 euros. Il est loin, le temps où le kebab était un sandwich peu cher avec lequel on se faisait plaisir à moindre coût en rentrant de soirée. Alors pourquoi le prix a-t-il doublé ?
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…