« Je ne suis pas bipolaire, je suis Hélène ! », asserte Hélène Rossetti, 43 ans, installée sur le balcon de son appartement villeurbannais.
Comme 1 à 5 % des Français, Hélène est atteinte de bipolarité, une maladie psychiatrique chronique caractérisée par des variations de l’humeur. Des troubles encore très mal connus et appréhendés en France. Elle rappelle l’importance de ne pas essentialiser les personnes concernées par cette pathologie, déjà victimes de stigmatisations au quotidien.
Lever le tabou — et ses conséquences — autour de la bipolarité n’est pas aisé. Il faudra sans doute plus qu’une annonce de Nicolas Demorand à l’antenne de France Inter. Le 26 mars dernier, le journaliste a dévoilé être diagnostiqué bipolaire de type 2 et a surtout assuré « ne plus vouloir se cacher ».
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