Trois occupations de lieux et trois expulsions en quelques jours, à la veille de la fin de la trêve hivernale. Voilà le bilan amer de la « semaine d’actions coordonnées » organisée entre le 24 et le 31 mars à Lyon par plusieurs collectifs, d’habitant.es et leurs soutiens.
Le but ? Anticiper les futures expulsions de nombreux squats à Lyon, et revendiquer des solutions pour les personnes « encore dehors après des expulsions ». Bien que la trêve hivernale ne soit pas applicable aux squats, la mobilisation permettait, comme le résume Salomé, du collectif Intersquats 69, de « faire pression sur la Ville, la Métropole et la Préfecture », régulièrement critiqués sur leurs politiques autour de l’hébergement d’urgence.

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