Des cartes « T’es relou » prêtes à être distribuées, des stickers le poing levé… Le tout s’amoncèle dans le salon de Juliette, l’une des fondatrices de La Meute rurale. Depuis trois ans, la jeune femme fait partie de ce collectif qui dénonce les violences et harcèlement sexistes et sexuelles (VHSS) dans les Monts du lyonnais, au sud-ouest de Lyon. Pour elle, l’heure est au tri pour se préparer au mieux à la journée de mobilisation du 8 mars qu’elle organise avec son collectif à Saint-Didier-sous-Riverie.
“On n’avait pas l’habitude de voir de telles manifestations dans le coin. On était 150 en 2024 pour la marche contre les violences faites aux femmes contre 80 en 2023. Ça peut paraître ridicule, mais pour nous, c’est déjà beaucoup”, sourit cette professeure de maths de 28 ans qui a “toujours vécu ici”.
Depuis 2024, La Meute rurale organise avec d’autres collectifs du territoire cette journée, mais aussi la journée internationale contre les violences faites aux femmes ou encore la Marche des fiertés. Des luttes qui ne se font pas sans difficultés.
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