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À la ferme du Courtil de Quincieux : « Entretenir le collectif est aussi important qu’entretenir un tracteur »

Au nord de Lyon, l’équipe du Courtil de Quincieux expérimente une agriculture à plusieurs paysans, travaillant en collectif. Fait encore rarissime, cette ferme de neuf hectares est devenue une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic) en mars 2024. Un modèle pour dépasser les difficultés à l’installation et la dureté du métier.

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Équipe du Courtil de Quincieux
De gauche à droite : Camille, Johan, Nicolas, Julie et Claire, du Courtil de Quinicieux.

Coincé entre une départementale et l’autoroute A46, le Courtil de Quincieux ne correspond pas à l’imaginaire visuel associé aux fermes collectives. On est loin du hameau isolé, entouré de forêts ou de prairies, où l’on produit à plusieurs une diversité de produits en bio.

Le voisin de ce corps de ferme du Val de Saône, au nord de Lyon, est un dancing au nom un peu daté, Le Rétro. Pourtant, derrière la façade, s’inventent bien des manières de produire et travailler la terre dans l’esprit de ces fermes encore atypiques.

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