La situation est critique, mais pas encore désespérée. En charge de l’édition du « guide d’information pour les personnes exilé·es », l’association Watizat est en difficulté. « Avec une quinzaine de bénévoles, on met à jour mensuellement le guide et on l’imprime, mais cela nous coûte cher », explique Julie Ziegelmeyer, coordinatrice salariée pour Watizat Lyon. Elle tire la sonnette d’alarme en ce début d’année.
L’association édite tous les mois, en version papier et en ligne, plusieurs guides d’information destinés aux personnes exilées présentes à Lyon. Où manger ? Où dormir ? Elle répond aux questions (pas forcément simples quand on arrive dans un pays étranger) que peuvent se poser des personnes exilées présentes en France. Son avenir est en question.
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