C’est une devanture plutôt discrète, à quelques pas des quais du Rhône, dans la rue Chaponay (Lyon 3e). À l’image de l’art qu’elle accueille, l’Improvidence ne verse pas dans le tape-à-l’oeil. Pourtant, derrière ses portes, 30 000 spectateurs viennent voir chaque année de l’improvisation théâtrale, « l’impro », à Lyon.
Un succès qui témoigne du développement de ce qui a longtemps été considéré comme une « sous-catégorie du théâtre. » « Il y a dix ans, faire de l’impro, c’était tabou pour certains comédiens », se souvient Thomas Debray, directeur et fondateur du théâtre.
Rapidement, il nous fait le tour du propriétaire. À l’entrée, un petit bar puis, au fond, une salle avec une cinquantaine de places et une scène « à l’américaine ». Comprenez une scène où les comédiens sont (très) proches du public. Une bonne manière d’entendre ses rires et pleurs lors des scènes. Ou son silence, en cas de bide…
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