Difficultés de recrutement des surveillants pénitentiaires, absences à répétition, arrêts maladie… La rentrée s’est faite dans la douleur dans la plupart des prisons de la région. Et en particulier à la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône, où des dizaines d’agents manquaient à l’appel au début du mois de septembre.
Une situation inédite, même pour cette prison habituée aux problèmes d’effectifs : en juillet dernier, la directrice de la prison Géraldine Balmelli pointait un taux d’environ 15% de vacance, soit 25 personnels en moins tous les matins. Depuis, la situation a donc continué à s’aggraver.
« Je n’avais jamais connu ça avant à Villefranche », abonde Dominique Verrière, secrétaire général de l’Union régionale UFAP-UNSA, le syndicat majoritaire des surveillants de prison.
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