Dans ce coin vallonné de l’ouest de Lyon, où serpentent les rivières de l’Azergues et de la Brévenne, les références au passé minier des lieux sont partout. À l’entrée du cimetière de Sain-Bel par exemple. Une œuvre mêle des images de roches et minéraux caractéristiques des gisements de Sain-Bel, dont l’exploitation prit fin en 1972.
Non loin de là, au musée de la mine de Saint-Pierre-la-Palud, enfants et petits enfants de mineurs racontent bénévolement cet héritage. Un passé qui pourrait rejaillir de ses cendres. Au début de l’été, l’État français a accordé un Permis exclusif de recherches de mines (PERM) à la Compagnie d’exploration de la Brévenne (CEB).
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