« En un mot Monsieur, est-ce que vous avez quelque chose à dire sur la demande du préfet ? ». 15 mars 2024, au tribunal judiciaire de Lyon. La magistrate mène son audience au pas de charge. Elle compte parmi les cinq juges des libertés et de la détention (JLD) actuellement en poste à Lyon, qui assurent chaque jour une, voire deux audiences consacrées à la rétention administrative. La machine ne s’arrête jamais : le week-end et les jours fériés, ces audiences sont assurées par d’autres juges, appelés en renfort.
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