Dès l’arrivée au gymnase Bellecombe (Lyon 3e), vendredi 7 juillet – occupé depuis deux semaines par des femmes et enfants sans-abri – le climat de tension se fait ressentir face à la vague d’expulsions en cours à Lyon. Les agents municipaux de sécurité présents sur place refusent que la conférence de presse organisée par le collectif de soutien aux réfugié·e·s et migrant·e·s du Rhône se tienne à l’intérieur du gymnase.
Les membres du collectif rient jaune :
« On s’est fait virer du gymnase, c’est lamentable. »

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