
« Les rails vont rester les mêmes, ce sont juste d’autres compagnies qui vont acheter le droit de passage. Donc, rien ne va s’améliorer. »
Pour Dominique, sage-femme et usagère quotidienne de la ligne Lyon-Grenoble depuis huit ans, la concurrence ne réglera pas les désagréments rencontrés. Dans les trains de la région Auvergne-Rhône-Alpes, les usagers s’interrogent sur l’ouverture à la concurrence des TER, rendue possible pour les régions depuis décembre 2019. Lorraine, une jeune entrepreneuse de 25 ans, croit aux effets bénéfiques de l’ouverture à la concurrence :
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