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Marche arrière pour les voitures à Bordeaux, Lyon et Strasbourg

Les maires écologistes de Bordeaux, Lyon et Strasbourg ont entrepris depuis 2020 de renforcer l’offre alternative (trams, bus, pistes cyclables) et de réduire la place dédiée aux voitures. À mi-mandat, analyse comparative des changements entrepris.

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Voitures Lyon

L’expression ne sera jamais employée ouvertement, car un piéton, un cycliste ou un usager du tram (mais aussi un électeur) se cache derrière chaque volant. Ou alors lâchée par mégarde comme Pierre Hurmic, qui une fois élu maire de Bordeaux, évoquait « une interdiction de la voiture à terme ».

Mais de fait, en Gironde comme à Lyon et Strasbourg, les mairie écologistes ont bien amplifié la chasse aux voitures, lancée avant eux et menée dans la plupart des grandes villes d’Europe. Cela en jouant sur les tous les registres, de la contrainte (stationnement payant, zones piétonnisées…) au développement des alternatives (vélo, transports en commun…).

Un des principaux objectifs est que les villes « fassent leur part » dans la lutte contre le changement climatique, alors que la France vient de s’engager à baisser de 50% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030.

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