Comme une majorité de métropoles françaises, Lyon, Bordeaux et Strasbourg se débattent avec une crise du logement. À cette crise, les écologistes arrivés à la tête de ces villes en 2020 en ajoutent une autre : la crise écologique. Selon le Ministère de la Transition écologique, le secteur du bâtiment représente 43 % des consommations énergétiques annuelles françaises et il génère 23 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) françaises. Sans compter l’artificialisation des terres qu’il peut engendrer.
Les trois villes entendent alors conditionner la construction de logements à leurs ambitions écologiques. En ajoutant dans la balance leur souci de rendre Lyon, Bordeaux et Strasbourg plus abordables, voilà qui devient un véritable casse-tête.

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