Un couloir long d’une vingtaine de mètres, neuf salles se détachant sur les côtés, une humidité imprégnée dans les murs. A quelques mètres sous les jardins de l’Hôtel de ville, les souterrains de l’ancien château de Grigny n’ont été ni détruits ni rebouchés. A l’inverse, ils se visitent et servent même aujourd’hui de lieu d’exposition pour des artistes Rhône-alpins et internationaux.
Ils sont protégés par la terre et barricadés derrière les vieilles pierres d’une muraille fortifiée. Composés de neuf loges, l’entrée principale des souterrains ouvre sur un petit hall, duquel monte une rampe qui mène à un premier niveau. En avançant de quelques pas, on découvre les cellules au plafond voûté.
Cet article fait partie de l’édition abonnés. | Déjà abonné ? Connectez-vous
Abonnez-vous maintenant pour poursuivre votre lecture

Déjà abonné⋅e ?
Connectez-vous
Chargement des commentaires…