Le 10 avril 2010, une grande manifestation contre l’extrême droite sillonne les rues de la Presqu’île et du Vieux-Lyon. « Une réponse pacifiste, populaire et massive » face à l’agression de trois militants du syndicat CNT Éducation, un mois plus tôt, se souvient David, l’un des militants en question. Cet épisode de violence réactive un comité de vigilance qui existait déjà à Lyon, du fait de la longue histoire de l’implantation de l’extrême droite dans la ville, dès les années 1970.
Car, à Lyon, la vivacité de l’extrême droite n’est pas restée sans réponse. Des mouvements antifascistes de divers horizons se sont organisés pour faire rempart à l’implantation et la violence de ces militants haineux.
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