C’en est presque devenu un marronnier. Chaque année, la Marche des fiertés de Lyon est soumise à des questionnements, voire des polémiques (de plus ou moins forte intensité) sur son déroulé. Ces dernières années, certains membres de la communauté LGBTI+ avaient reproché à l’organisation un côté trop “politique”. Cette année… Ce serait (quasiment) le contraire.
Les partis politiques et syndicats sont montés au créneau en avril. Le motif ? Leur « exclusion » du cortège lyonnais de la Pride. Depuis la prise en main de l’événement par le collectif Fiertés en lutte (CFL) en 2020, les drapeaux des partis et des syndicats n’ont pas voix au chapitre dans le cortège.
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